Ouverture de l’Atelier de Renforcement des capacités nationales dans le démantèlement des réseaux criminels organisés dans le cadre du projet OCWAR-T
Ce projet est réalisé à la demande du Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères, cofinancé par l’Union européenne et mise en œuvre conjointement par la GIZ et l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), le Groupe consultatif sur les mines (MAG), le Centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD), l’Institut d’études de sécurité (ISS) et l’Initiative Globale contre la Criminalité Transnationale Organisée (GI-TOC).
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L’objectif principal du projet est d’améliorer les structures et les conditions-cadres nationales et régionales de lutte contre la traite d’êtres humains, contre le trafic de drogues, d’armes à feu et d’autres marchandises, ainsi que contre la criminalité transnationale organisée et le terrorisme.
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L’atelier, qui durera trois jours, servira à renforcer les capacités des acteurs chargés de l'application des lois et de leurs homologues du secteur de la justice à efficacement enquêter, poursuivre et juger les cas de criminalité transnationale organisée conformément aux dispositions de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée (UNTOC).
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Pendant la séance d’ouverture, partagée avec le Coordinateur Résident des Nations Unies, l’Ambassadeur de la CEDEAO et des Représentants de l’Ambassade d’Allemagne et du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, l’Ambassadrice de l’Union européenne a expliqué l’importance de lutter contre les trafics illicites vu ses liens avec les groupes djihadistes et la situation d’insécurité dans les zones frontalières du Bénin et a confirmé la volonté de l’UE et de ses États membres à soutenir le gouvernement dans ses efforts pour améliorer cette situation.
Ci-joint le discours prononcé à cette occasion par Madame Sylvia Hartleif, Ambassadrice de l'Union européenne :